Ledernier jour d'un condamné à mort de Victor Hugo Saria et ses livres. rubrique : ma bibliothèque idéale "Le dernier jour d'un condamné à mort" de Victor Hugo Paru en : 1829 Résumé : 24h avant son exécution un condamné à mort relate les 6 semaines qui se sont écoulées soit de son procès à la veille de la sentence. On ne sait
Chapitre Evénements principaux. 22. A 7h30, escorté par 6 gendarmes en compagnie du prêtre et de l’huissier, le condamné quitte Bicêtre pour le transfert à la conciergerie.. A 8h30, ils arrivent à la cour de la conciergerie . 23. Le narrateur déposé dans un cabinet attenant à celui du directeur, rencontre un autre condamné à mort âgé de 55 ans qui lui raconte son histoire de
VictorHugo, Le dernier jour d’un condamné Chapitres 48 et 49 XLVIII D’une chambre de l’Hôtel de Ville. Le condamné à été transféré à l’Hôtel de Ville : il est maintenant au-dessus de la place de Grève. Mais il revient sur son départ de la Conciergerie.
VICTORHUGO, LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE : RESUME CHAPITRE PAR CHAPITRE . Chapitre I Un jeune prisonnier dont on ignore le crime évoque sa tourmente : condamné à mort il est hanté par l'idée de son exécution prochaine. Douleur psychologique bien plus abominable que la douleur physique de la détention. Chapitre II Le jeune homme se
unauteur visionnaire, dans la mesure où dès les années 1830, il s’élevait devant la peine de mort. Dans le dernier jour d’un condamné, il imagine les derniers instants d’un condamné à mort, il repasse en revue toute son existence, son procès et on ne sait même pas pourquoi il a été condamné a mort. Dans la préface de ce
Résumésur le roman. Le Dernier Jour d'un condamné a été écrit par Victor Hugo en 1829. Indigné par la guillotine et le traitement de la société envers les condamnés, Victor Hugo décida de dénoncer cette aberration à travers son roman : conditions de vie déplorables des prisonniers, traitement inhumain des condamnés en décrivant
Journalécrit LES derniers jours. ou LE dernier Jour [ modifier le code] Plusieurs fois déjà , on a cherché en remplacer « le journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence» par «le journal qu'un condamné à mort écrit durant les derniers jours de son existence ». Il me semble que c
lHzQVOI. Elle est fraîche, elle est rose, elle a de grands yeux, elle est belle ! On lui a mis une petite robe qui lui va bien. Je l’ai prise, je l’ai enlevée dans mes bras, je l’ai assise sur mes genoux, je l’ai baisée sur ses cheveux. Pourquoi pas avec sa mère ? – Sa mère est malade, sa grand mère aussi. C’est bien. Elle me regardait d’un air étonné ; caressée, embrassée, dévorée de baisers et se laissant faire ; mais jetant de temps en temps un coup d’œil inquiet sur sa bonne, qui pleurait dans le coin. Enfin j’ai pu parler. – Marie ! ai-je dit, ma petite Marie ! Je la serrais violemment contre ma poitrine enflée de sanglots. Elle a poussé un petit cri. – Oh ! vous me faites du mal, monsieur m’a-t-elle dit. Monsieur ! il y a bientôt un an qu’elle ne m’a vu, la pauvre enfant. Elle m’a oublié, visage, parole, accent ; et puis, qui me reconnaîtrait avec cette barbe, ces habits et cette pâleur ? Quoi ! déjà effacé de cette mémoire, la seule où j’eusse voulu vivre ! Quoi ! déjà plus père ! être condamné à ne plus entendre ce mot, ce mot de la langue des enfants, si doux qu’il ne peut rester dans celle des hommes papa ! Et pourtant l’entendre de cette bouche, encore une fois, une seule fois, voilà tout ce que j’eusse demandé pour les quarante ans de vie qu’on me prend. – Écoute, Marie, lui ai-je dit en joignant ses deux petites mains dans les miennes, est-ce que tu ne me connais point ? Elle m’a regardé avec ses beaux yeux, et a répondu – Ah bien non ! – Regarde bien, ai-je répété. Comment, tu ne sais pas qui je suis ? – Si, a-t-elle dit. Un monsieur. Hélas ! n’aimer ardemment qu’un seul être au monde, l’aimer avec tout son amour, et l’avoir devant soi, qui vous voit et vous regarde, vous parle et vous répond, et ne vous connaît pas ! Ne vouloir de consolation que de lui, et qu’il soit le seul qui ne sache pas qu’il vous en faut parce que vous allez mourir ! – Marie, ai-je repris, as-tu un papa ? – Oui, monsieur, a dit l’enfant. – Eh bien, où est-il ? Elle a levé ses grands yeux étonnés. – Ah ! vous ne savez donc pas ? il est mort. Puis elle a crié ; j’avais failli la laisser tomber. – Mort ! disais-je. Marie, sais-tu ce que c’est qu’être mort ? – Oui, monsieur, a-t-elle répondu. Il est dans la terre et dans le ciel. Elle a continué d’elle-même – Je prie le bon Dieu pour lui matin et soir sur les genoux de maman. Je l’ai baisée au front. – Marie, dis-moi ta prière. – Je ne peux pas, monsieur. Une prière, cela ne se dit pas dans le jour. Venez ce soir dans ma maison ; je la dirai. C’était assez de cela. Je l’ai interrompue. – Marie, c’est moi qui suis ton papa. – Ah ! m’a-t-elle dit. J’ai ajouté – Veux-tu que je sois ton papa ? L’enfant s’est détournée. – Non, mon papa était bien plus beau. Je l’ai couverte de baisers et de larmes. Elle a cherché à se dégager de mes bras en criant – Vous me faites mal avec votre barbe. Alors, je l’ai replacée sur mes genoux, en la couvant des yeux, et puis je l’ai questionnée. – Marie, sais-tu lire ? – Oui, a-t-elle répondu. Je sais bien lire. Maman me fait lire mes lettres. – Voyons, lis un peu, lui ai-je dit en lui montrant un papier qu’elle tenait chiffonné dans une de ses petites mains. Elle a hoché sa jolie tête. – Ah bien ! je ne sais lire que des fables. – Essaie toujours. Voyons, lis. Elle a déployé le papier, et s’est mise à épeler avec son doigt – A, R, ar, R, E, T, rêt, ARRÊT... Je lui ai arraché cela des mains. C’est ma sentence de mort qu’elle me lisait. Sa bonne avait eu le papier pour un sou. Il me coûtait plus cher, à moi. Il n’y a pas de paroles pour ce que j’éprouvais. Ma violence l’avait effrayée ; elle pleurait presque. Tout à coup elle m’a dit – Rendez-moi donc mon papier, tiens ! c’est pour jouer. Je l’ai remise à sa bonne. – Emportez-la. Et je suis retombé sur ma chaise, sombre, désert, désespéré. À présent ils devraient venir ; je ne tiens plus à rien ; la dernière fibre de mon cœur est brisée. Je suis bon pour ce qu’ils vont faire. Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo, 1829, Chapitre XLIII Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 111 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 111 avis 1er cours offert !C'est parti On rappellera ici la méthode du commentaire composé vu en cours francais Partie du commentaireViséeInformations indispensablesÉcueils à éviter Introduction- Présenter et situer le texte dans le roman - Présenter le projet de lecture = annonce de la problématique - Présenter le plan généralement, deux axes- Renseignements brefs sur l'auteur - Localisation du passage dans l'œuvre début ? Milieu ? Fin ? - Problématique En quoi… ? Dans quelle mesure… ? - Les axes de réflexions- Ne pas problématiser - Utiliser des formules trop lourdes pour la présentation de l'auteur Développement - Expliquer le texte le plus exhaustivement possible - Argumenter pour justifier ses interprétations le commentaire composé est un texte argumentatif- Etude de la forme champs lexicaux, figures de styles, etc. - Etude du fond ne jamais perdre de vue le fond - Les transitions entre chaque idée/partie- Construire le plan sur l'opposition fond/forme chacune des parties doit impérativement contenir des deux - Suivre le déroulement du texte, raconter l'histoire, paraphraser - Ne pas commenter les citations utilisées Conclusion- Dresser le bilan - Exprimer clairement ses conclusions - Elargir ses réflexions par une ouverture lien avec une autre œuvre ? Événement historique ? etc.- Les conclusions de l'argumentation- Répéter simplement ce qui a précédé Ici, nous détaillerons par l'italique les différents moments du développement, mais ils ne sont normalement pas à signaler. De même, il ne doit normalement pas figurer de tableaux dans votre commentaire composé. Les listes à puces sont également à éviter, tout spécialement pour l'annonce du plan. En outre, votre commentaire ne doit pas être aussi long que celui ici, qui a pour objectif d'être exhaustif. Vous n'aurez jamais le temps d'écrire autant ! Introduction Victor Hugo est un auteur français du XIXème siècle. Il est tout à la fois connu pour ses oeuvres poétiques, théâtrales et romanesques. Mais il était aussi un grand défenseur des droits, engagé politiquement pour les plus pauvres et pour les injustices, à travers ses oeuvres autant que son action politique. Le dernier jour d'un condamné, publié en 1829, fait partie de ces oeuvres engagées-là . Il y fait parler un condamné à mort, quelques semaines avant son passage à l'échafaud. Le lecteur lit ses pensées tandis que la date de son exécution approche, sans qu'on sache qui il est réellement et ce qu'il a fait pour subir un tel sort. Il s'agit, de fait, d'un réquisitoire contre la peine de mort. Le passage qui nous occupe ici relate la rencontre du condamné avec sa fille, un an après leur dernière entrevue. Surtout, c'est la dernière fois qu'il la verra avant l'exécution de sa peine. Annonce de la problématique Comment Victor Hugo se sert-il de cette scène pour affirmer l'inhumanité de la peine à mort ? Annonce des axes Nous verrons dans un premier temps le décalage qui existe entre le père et sa fille. Dans un second temps, nous analyserons la manière dont Victor Hugo en appelle à la sensibilité du lecteur. Perdu dans ses pensées, Victor Hugo a, pour sa part, toujours était un homme libre. Si libre que sa pensée lui a valu un exil mais pour l'auteur romantique, l'esprit et la création sont plus forts que tout. Développement Le décalage entre le père et la fille La première manière pour Hugo d'établir un malaise dans cette scène, c'est le décalage qu'il fait ressentir entre, d'une part, l'élan affectif du père et, d'autre part, la méfiance effrayée de la fille. Un père joyeux très vite déçu Le chapitre commence d'une manière très lyrique, avec une accumulation de termes mélioratifs, se terminant par un point d'exclamation Elle est fraîche, elle est rose, elle a de grands yeux, elle est belle ! ». Cela traduit la joie du père qui revoie sa fille après un an de séparation. L'impatience est également traduite par l'adverbe Enfin ». D'autres marqueurs témoignent de sa position, d'abord absolument joyeuse. Il qualifie sa fille de manière très positive fraîche », rose », belle », ma petite Marie », ses beaux yeux », jolie tête ». En outre, il est mu par des élans physiques emplis de douceur et de paternité, comme le montre le champ lexical associé à ses actes caressée », embrassée », dévorée de baisers », serrais », baisée », replacée sur mes genoux », couvant ». En dernier lieu, la proximité qu'il se sent en droit d'avoir avec elle - comme un père avec sa fille - est manifestée de différentes manières le tutoiement l'utilisation des pronoms possessifs ma », ses », etc. l'utilisation des pronoms démonstratifs qui donne cette », etc. Mais, devant l'attitude de sa fille, sa déception va crescendo. Ainsi, il s'aperçoit que sa fille ne le reconnait pas déjà effacé de cette mémoire » ou déjà plus père », avec l'anaphore sur le mot déjà » qui insiste sur son désespoir. Ainsi, la joie d'abord éprouvée se transforme en cauchemar et se termine par la volonté de la fuir emportez-la ». Berthe Morisot, Eugène Manet et sa fille au jardin, 1883 Car on peut analyser l'attitude de Marie, en tous points opposée à celle de son père, à travers le même déroulement. Une fille apeurée Ainsi, tandis qu'il voit sa fille d'une manière positive, elle le perçoit d'une manière négative du mal », non, mon papa était bien plus beau », etc. Elle reçoit également très mal les élans physiques et affectifs de son père coup d’œil inquiet » ; cri », crié », se dégager », criant », effrayée », pleurait ». En dernier lieu, sa distance contraste avec la proximité manifestée par le condamné, à travers les mêmes marqueurs elle le vouvoie elle le rejette se dégager de mes bras » Enfin, il y a un crescendo dans sa peur elle est d'abord seulement inquiète coup d'oeil inquiet », puis elle souffre physiquement Vous me faites du mal » et, finalement, elle pleure presque ». Ce décalage parfait entre les deux perceptions est aussi terrible en raison de la relation que devrait normalement entretenir un père et sa fille. L'amour filial est celui auquel tout le monde se destine, puisque l'Homme peut être considéré comme fait pour se reproduire et élever son enfant. Or, ici, le condamné à mort est privé de ce droit. C'est un argument qu'utilise Hugo pour prouver le caractère inhumain de la situation de quel droit priver une fille de son père, et inversement ? L'appel à la sensibilité du lecteur Hugo, dans cet extrait, manie le registre pathétique à la perfection pour sensibiliser le lecteur à cette situation qu'il estime inhumaine. Pour rappel, le registre pathétique vise à susciter l'émotion du lecteur. Il fonctionne avec le champ lexical de la pitié ou de la souffrance et des figures de style telles que l'hyperbole ou l'anaphore. Émile Munier, 1882, Petite fille & chat L'adresse directe au lecteur Il est deux passages où Hugo s'adresse pratiquement explicitement au lecteur. Il convient de les analyser. Hélas ! n’aimer ardemment qu’un seul être au monde, l’aimer avec tout son amour, et l’avoir devant soi, qui vous voit et vous regarde, vous parle et vous répond, et ne vous connaît pas ! Ne vouloir de consolation que de lui, et qu’il soit le seul qui ne sache pas qu’il vous en faut parce que vous allez mourir ! L'utilisation du pronom personnel vous » est ainsi ambiguë. Elle se rapporte d'abord à lui-même, dans un élan lyrique et pathétique où le locuteur = celui qui parle s'adresse à lui-même. Mais, évidemment, c'est aussi le pronom personnel qui s'adresse à l'autre, et, ainsi, au lecteur. C'est la deuxième personne du pluriel ; en cela, elle revêt un sens collectif. Ici, le collectif, c'est l'humanité tout entière. On se rappellera les paroles de Dieu, dans La Genèse Fécondez et multipliez-vous », pour affirmer que se reproduire est l'un des marqueurs de notre humanité. Ainsi, Hugo, par l'intermédiaire de son personnage, en appelle à tous les pères et tous les mères pour témoigner du caractère inhumain d'une telle situation. C'est le sens du il », alors que Marie est un elle » il s'adresse à tous les parents de la Terre, au sujet de tous les enfants de la Terre. Pour un parent, seul l'enfant compte ; d'où la douleur de ne pas se voir reconnu par lui. L'expression pathétique du sentiment Une autre caractéristique du registre pathétique est l'expression du sentiment. Il y a un passage qui correspond absolument à cette définition Monsieur ! il y a bientôt un an qu’elle ne m’a vu, la pauvre enfant. Elle m’a oublié, visage, parole, accent ; et puis, qui me reconnaîtrait avec cette barbe, ces habits et cette pâleur ? Quoi ! déjà effacé de cette mémoire, la seule où j’eusse voulu vivre ! Quoi ! déjà plus père ! être condamné à ne plus entendre ce mot, ce mot de la langue des enfants, si doux qu’il ne peut rester dans celle des hommes papa ! Je l’ai couverte de baisers et de larmes. Le Monsieur » qui introduit la lamentation reprend certes la parole de l'enfant, mais, pris indépendamment, on pourrait également y voir une adresse directe au Monsieur » qui lit. Par ailleurs, la présence des points d'exclamation signifie bien le caractère expressif du passage on en trouve six !. Le tout se termine dans un élan ambigu et paradoxal, qui témoigne de toute la souffrance de sa situation il l'embrasse - signe de son amour absolu - et pleure - signe de son désespoir tout aussi absolu. En dernier lieu, il est une formule intéressante à relever dans ce contexte être condamné », qui fait évidemment écho à la situation du forçat, condamné à mourir. Dans une tragique ironie, le père souffre plus de la condamnation à ne plus jamais être appelé ainsi qu'à mourir. Eugène Delacroix, Le Prisonnier de Chillon, 1834 La condamnation par la fille Car le narrateur, après avoir été mis à mort par les juges, est mis à mort par sa fille - celle-là même qui fondait son plaisir à vivre et qui l'affirmait comme faisant partie du domaine de la vie, puisqu'ayant contribué à la perpétuer. Ainsi, elle lui dit Il est mort » ou encore il est dans la terre et dans le ciel ». On peut voir ce même sens dans la lecture qu'elle fait de son arrêt de mort. Aussi, puisque sa fille le renie, il n'a plus rien à faire sur Terre. A partir du moment où le narrateur se trouve nié dans sa paternité, la rupture de son dernier lien avec les vivants est consommé, il peut abandonner l'existence. Comme il le dit, empli de désespoir Et je suis retombé sur ma chaise, sombre, désert, désespéré. » La dernière fibre de mon cœur est brisé ». Conclusion Victor Hugo expose, par cette dernière rencontre entre un père et sa fille, toute l'inhumanité contenue dans la condamnation à mort de quelqu'un. Celui-ci est déjà privé de son existence avant que la peine soit exécuté. L'auteur choisit une situation pathétique = qui suscite la pitié et en tire des conclusions humanistes sur la condition du prisonnier. C'est prendre trop de pouvoir sur la vie que de priver l'homme de l'existence, au sein même de celle-ci.
le dernier jour d'un condamné 250 questions le dernier jour d'un condamné, cours 1 bac francais, pour bien préparer votre contrôles et examens, vous trouvez ici 250 question concerne le Roman "le dernier jour d'un condamné",les question réaliser par le prof Yassine kasmi. le dernier jour d'un condamné questions résumé les actions chapitre par chapitre. voir plus Etudier de l'œuvre Le dernier jour d’un condamné»1bac, Fiche de lectureLe dernier jour d’un condamné. Questions générales Quel est le genre de cet œuvre ? roman autobiographique – roman à thèse – roman policier. Quelle est sa date de parution ? 1282 – 1829 – 1830. Quelle est la thèse défendue ? l’application de la peine capitale – l’abolition d la peine capitale – la défense de la peine capitale. Quelle est la visée des textes de ce roman ? visée argumentative – visée narrative – visée informative. Quelle est l’heure de l’exécution ? deux heures – trois heures – quatre heures. Le narrateur est un força – un galérien – un condamné à mort. Quel est le premier lieu dé séjour du narrateur ? la conciergerie – Bicêtre – l’hôtel de ville. A partir de quel chapitre annonce-t-on le dernier jour ? à partir du chapitre 13 – à partir du chapitre 18 – à partir du chapitre 48. Comment le narrateur a-t-il décrit les spectateurs ? gentils – malheureux – avides de sang. Pourquoi l’auteur n’a pas cité le prénom du condamné ? pour rendre son roman universel – pour attirer la pitié du lecteur. Quel est le lieu de l’exécution ? le palais royal – la place de grève – la tour notre Dame. Quel est son amour d’enfance ? Pepa – Marie – Mery. Quelles sont les personnes que le narrateur a laissé derrière lui ? deux filles et une mère- un garçon, une fille et une épouse – une fille, une femme et une mère. Quel est le nombre des chapitres ? 47 – 48 – 49. Quelle est la date de naissance de l’auteur ? 1815 – 1810 – 1802. Quelle est la date du décès de l’auteur ? 1885 – 1887 – 1889. Où se trouve le narrateur ? dans un cabinet – dans un cachot – dans un cabaret. A quelle peine est-il condamné ? les galères – les travaux forcés – la mort. Par quelle machine sera-t-il exécuté ? la guillotine – la chaise électrique – la potence. Qui va l’exécuter ? un geôlier – un guichetier – un bourreau. Quelle est la situation familiale du condamné ? veuf – marié – célibataire. Par quoi se caractérise la cellule du condamné ? elle est meublée – elle est accueillante – elle est repoussante. Quel est le premier chapitre rédigé à la conciergerie ? chapitre 18 – chapitre 20 – chapitre 22. Quel est le premier chapitre rédigé à l’hôtel de vile ? chapitre 44 – chapitre 46 – chapitre 48. Quelle est l’heure de l’annonce du dernier jour ? six heures – six heures et demie - sept heures. Quel est le spectacle qu’a vu le narrateur dans la cour de la prison chapitre 13 ? l’exécution des forçats – le ferrage des forçats – la fête des forçats. Pourquoi le narrateur est-il emmené à l’infirmerie ? car il a de la fièvre – car il a mal au ventre – car il s’est évanoui. Qu’est-ce qu’il a entendu à l’infirmerie ? la voix d’un oiseau – la femme d’un condamné – une jeune fille de 15 ans. Quel est l’âge de sa mère ? 62 ans – 64 ans – 66 ans. Quelle était la durée de son procès ? trois jours – cinq jours – six jours. Qui est l’un des condamnés qui ont laissé des traces dans la même cellule du condamné ? Charles 10 – papavoine – pepita. Quel est l’âge du condamné qu’a rencontré le narrateur à la conciergerie ? 50 ans – 55 ans – 60 ans. Qu’est-ce que le vieux condamné a pris au narrateur ? une montre – une redingote – une chemise. Quelle est l’image qui fait peur au narrateur ? l’image de la potence – l’image de Bicêtre – l’image de l’échafaud. Pourquoi un sous-Architect est arrivé dans la cellule du condamné ? pour prendre des notes – pour prendre des mesures – pour interroger le narrateur. Comment le narrateur a-t-il caractérisé l’idée de la mort ? elle est heureuse – elle est malheureuse – elle est jalouse. Combien de temps le narrateur a-t-il passé à Bicêtre ? environ 4 semaines – environ 6 semaines – environ 8 semaines. Comment le narrateur a-t-il décrit Bicêtre ? comme une masure – come une chaumière – comme une maison. Qu’a-t-il appris en prison ? le jeux aux cartes – l’espagnole – l’argot. Que désigne l’expression épouser la veuve » ? être guillotiné – être pendu – être tué. Quelle faveur a-t-on accordé au narrateur ? des papiers et une plume – des romans et des revus – des chemises et des pantalons. A quel moment ont commencé les préparatifs du départ des forçats à Toulon ? le matin – à midi – l’après-midi. Par quoi ces préparatifs ont-ils commencé ? par l’entrée d’une charrette – par l’entrée du directeur – par l’entrée des galériens. Qu’est-ce qui s’est passé au narrateur après avoir vu le spectacle du départ des forçats ? il est tombé malade – il a mal à la tête – il s’est évanoui. Quelle est la durée du voyage des forçats ? 23 jours – 25 jours – 27 jours. Qu’est-ce que le narrateur aurait dû faire lorsqu’il était à l’infirmerie ? se suicider – se cacher – s’évader. Quelle est la première personne qui a visité le narrateur dans son dernier jour ? un directeur – un prêtre – un guichetier. Comment le guichetier s’est comporté avec le narrateur ? d’une manière agressive – d’une manière méprisante – d’une manière respectueuse. Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur dans son dernier jour ? le directeur – le prêtre – l’huissier. Qui a annoncé au narrateur le rejet de son pourvoi ? le directeur – le prêtre – l’huissier. Quel est le deuxième lieu de séjour du narrateur ? la conciergerie – Bicêtre – l’hôtel de ville. A quel âge le friauche a-t-il emprisonné pour la première fois ? 6 ans – 9 ans – 17 ans. Le narrateur a accepté d’échanger sa redingote contre la veste du vieil homme par peur – par charité – par insouciance. Qui était avec le narrateur dans sa cellule à la conciergerie ? un bourreau – un gendarme – un guichetier. De qui le narrateur pense-t-il obtenir une grâce ? du procureur général – du directeur – du roi. Comment le narrateur a-t-il considéré l’aumônier de la prison ? un prêtre qui répète un discours sans âme – un prêtre qui donne de la consolation – un prêtre qui a marqué le condamné par son éloquence. Quel genre de prêtre réclame le narrateur ? un prêtre menteur – un prêtre crédible – un prêtre malheureux. Avant d’emmener le narrateur à l’hôtel de ville ils lui ont coupé les oreilles – ils lui ont coupé les mains – ils lui ont coupé les cheveux. Comment s’appelle le bourreau qui exécuterait le narrateur ? Samson – Mardi – Mercredi. Comment le narrateur a-t-il considéré sa cellule à Bicêtre ? une boîte de conserve – une boîte à merveilles – une boîte de pierre. Quel jeu le nouveau gendarme de la conciergerie joue-t-il ? Il joue aux cartes – il joue à la loterie – il joue au tiercé. Quel est l’âge de sa petite file marie ? 2 ans – 3 ans – 4 ans. Qu’est-ce qu’ils lui ont donné une fois arrivé à Bicêtre ? une chemise – un pantalon – une camisole de force. Chapitre 1 Dans ce chapitre le narrateur fait une comparaison entre le passé et le future – le passé et le présent – le présent et le futur. Le passé est symbole de l’obscurité et une seule idée – la liberté et plusieurs idées – l’emprisonnement et une seule idée. Les deux marqueurs temporels employés sont autrefois et maintenant – hier et aujourd’hui – autrefois et actuellement. Sous les larges bras des marronniers » est une métaphore – une antiphrase – une personnification. L’idée qui obsède le narrateur est l’idée de la mort – l’idée de la liberté – l’idée de la prison. L’idée de la mort reparait dans les rêves du narrateur sous-forme d’une lame – d’une épée – d’un couteau. Dans ce chapitre le narrateur se trouve dans un cabinet à Bicêtre – dans un cabinet à la conciergerie – dans une cellule à Bicêtre. Chapitre 2 Quand le narrateur a-t-il condamné ? le mois d’avril – le mois de novembre – le mois d’août. Les spectateurs sont décrits comme des corbeaux – des chacals – des vampires. La durée de la condamnation est 1 jour – 3 jours – 5 jours. Où le narrateur dort-il ? sur un lit – sur un grabat – sur de la paille. Durant les premières nuits, le narrateur n’a pas pu dormir à cause du bonheur et de la gaieté – du bonheur et de la fatigue – d’inquiétude et de terreur. La troisième nuit le narrateur a dormi d’ennui et de fatigue – d’ennui et de terreur – d’ennui et de bonheur. Avant la proclamation du verdict, le narrateur était sûr qu’il va être condamné à mort – qu’il va être condamné aux galères – qu’il va être libéré. La lumière était symbole de la chaleur – la liberté – la mort. L’avocat a pensé que le narrateur sera libéré – condamné à mort – condamné aux travaux forcés. Le narrateur a préféré les galères à la mort – la mort aux galères – la mort à la liberté. La voiture qui l’attendait au bas de l’escalier était blanche, propre et belle – bleue, salle et grillée – noire, sale et grillée. Après la proclamation du verdit, tout est devenu blanc. Cette couleur évoque le bonheur – la sécheresse – le linceul. Chapitre 3 Dans ce chapitre le narrateur pense que tous les hommes seront exécutés à la grève – tous les hommes sont condamnés à mort – tous les hommes seront guillotinés. Le narrateur regrette d’être maltraité et battu – d’être respecté – d’être vénéré. Qu’est-ce qu’on donne au condamné dans sa cellule ? du pain noir et un bouillon délicieux – du pain noir et un bouillon maigre – du pain gris et un bouillon maigre. Le narrateur était éduqué – rebelle – méchant. Chapitre 4 Où le narrateur a-t-il été transféré après sa condamnation à Bicêtre – au tribunal – à la conciergerie. Bicêtre, vu de loin, parait comme une masure – un palis royal – un tombeau. Bicêtre, vu de près, parait comme une masure – un palis royal – un tombeau. On dirait que les murs ont une lèpre » est une comparaison – une métaphore – une hyperbole. Chapitre 5 Une fois arrivé à Bicêtre, ils lui ont donné un couteau – une camisole de force – une fourchette pour ses repas. Les premiers jours, les geôliers et les guichetiers ont traité le narrateur avec cruauté – avec inattention – avec respect. Le respect des guichetiers sent l’échafaud – le bonheur – la liberté. Le narrateur est jeune et rebelle – vieux et docile – jeune et obéissant. Le narrateur sortit avec les autres prisonniers une fois par semaine – deux fois par semaine – trois fois par semaine. Le narrateur parle aussi en Anglais – en Latin – en Arabe. Le préau désigne le café d’une prison – la cellule d’une prison – la cour d’une prison. Parmi les faveurs accordées au narrateur, on trouve l’encre, des papiers, des plumes et un lit – l’encre, du papier un stylo et un bureau – l’encre, des papiers, une plume et une lampe. Qui signifie l’expression rouscailler bigorne » ? se moquer des guichetiers – perdre du temps – parler en argot. Le narrateur a considéré le langage argotique comme une excroissance – la mort – la prison. Que désigne en argot le mot menteuse » l’œil – la main – la langue. Chapitre 6 Le narrateur a décidé d’écrire son autobiographie – son journal de souffrance – ses souvenirs d’enfance. Pourquoi il a décidé d’écrire ? pour que sa fille ne le déteste pas – pour moins souffrir – pour donner une leçon à ceux qui condamnent. Le narrateur insiste sur les souffrances du corps – les souffrances de l’esprit – les souffrances de Marie. Le type de récit employé dans ce chapitre est récit rétrospectif – monologue. Chapitre 7 Le narrateur a décidé d’écrire pour sauver d’autres têtes – sauver sa tête – sauver le juge prêt à juger. Chapitre 8 Dans ce chapitre, le narrateur regrette d’avoir laissé une fille sans père et sans protection – décrit son cachot – compte ce qui lui reste. Chapitre 9 Quel est l’âge et le prénom de sa fille ? marie, deux ans – Pepa, 3 ans – marie, 3 ans. Quel est l’âge de sa mère ? 60 ans – 62 ans - 64 ans. Sa file était douce, brune et frêle – douce, brune et grosse – douce, rose et frêle. Qu’est-ce qui inquiète le narrateur ? sa fille Marie – sa femme – sa mère. Chapitre 10 Quelle est la superficie de son cachot ? 4 pieds carrés – 6 pieds carrés – 8 pieds carrés. Le lit du condamné est sous-forme d’un grabat – d’une bote de paille – d’un banc. Il y a au centre de la porte, vers le haut, une ouverture de 7 pouces carrés – 8 pouces carrés – 9 pouces carrés. Le narrateur est considéré par les curieux qui venaient le voir comme un être humain – un bourgeois – une bête. Chapitre 11 Dans ce chapitre, le narrateur écrit son histoire – décrit les galériens – lit les inscriptions écrites sur les murs de sa cellule. Parmi les images qui étaient dessinées, laquelle a-t-elle fait peur au narrateur ? la figure de Papavoine – la figure d’un chapeau à trois cornes – la figure de l’échafaud. Chapitre 12 Dans ce chapitre, le narrateur écrit son histoire – décrit les galériens – lit les inscriptions écrites sur les murs de sa cellule. Jean Martin est le criminel qui a assassiné sa femme – qui a assassiné sa mère – qui a assassiné des enfants. Où le narrateur sera-t-il enterré ? au cimetière de Clamart – au cimetière de Notre-Dame – au cimetière de Sidi Ali Boughaleb. Chapitre 13 Dans ce chapitre, le narrateur est transféré à la conciergerie – décrit le prêtre – décrit les préparatifs au départ des forçats. Le narrateur a pensé qu’il s’agit du ferrage des forçats – de la fête des forçats – de l’exécution des forçats. La cellule où est mis le narrateur est meublée – démeublée – sans fenêtre. Les argousins ont été accueillis avec des acclamations railleuses – avec des vœux – avec des applaudissements. Les galériens seraient transférés à Toulon – à la conciergerie – à Bicêtre. Les galériens sont sortis après l’ordre de monsieur le directeur – monsieur l’inspecteur – monsieur le procureur du roi. Les prisonniers-spectateurs ont accueilli les galériens avec acclamations et applaudissements – avec menaces – avec insultes et imprécations. Le jeune galérien de 17 ans fait la roue sur lui-même avec agilité d’un tigre – d’une gazelle – d’un serpent. La plupart des galériens avaient des chapeaux en paille – cuir – tissu. La première scène de ce spectacle était le ferrage – le repas – la visite des médecins. Parmi les excuses sanitaires que donnent les galériens oreille mutilée – main mutilée – pied mutilé. Au moment où les galériens commencent à se déshabiller un galérien est décédé – une pluie commence à tomber – les argousins les battent avec violence. Qui s’occupe du ferrage des forçats ? le directeur de la prison – les argousins supérieurs – les forgerons de la chiourme. Les deux forgerons étaient armés de chaînes – de cordes – d’enclumes. Après leur ferrage, les forçats commencent à pleurer – chanter – se lamenter. La dernière scène de ce spectacle est le repas – la visite des médecins – la visite des geôliers. Le narrateur s’est évanoui car il lui a semblé que les forçats ont assailli sa cellule – qu’il était avec les forçats dans la cour – qu’il était ferré. Chapitre 14 Le condamné a été transporté à la conciergerie – à la place de grève – à l’infirmerie. Le narrateur étant dans un lit d’hôpital, sentait une sensation de froid – une sensation de chaleur – un sentiment de dégoût. Ce qui a éveillé le narrateur c’était la chanson d’une jeune fille – les infirmiers pressés autour de son chevet – le bruit des charrettes qui transportaient les galériens. Le nombre des charrettes, chargés des forçats, est 3 charrettes – 5 charrettes – 7 charrettes. Ce jour-là , il y avait de la pluie – du soleil splendide – de la neige. Un horrible dialogue s’est établi entre les forçats et les argousins – les postillons – la foule. Dans la 6ème charrette, il y a le directeur, l’inspecteur et les argousins – des enclumes et des marteaux – des chaudières, des gamelles et des chaînes. Le narrateur a préféré le couteau de la guillotine au carcan de la chiourme – les galères à la mort – les galères à la potence. Chapitre 15 Le narrateur a une maladie contagieuse – bénigne – mortelle. Quelle est l’idée qui torture le narrateur après avoir quitté l’infirmerie ? il aurait dû se cacher – il aurait dû s’évader - il aurait dû se suicider. le pourvoi, est une corde qui vous tient suspendu qu-dessus de l’abîme » est une comparaison – une hyperbole – une métaphore. Le narrateur est sûr qu’il serait libéré – qu’il serait gracié – que son pourvoi serait rejeté. Les trois pas qu’il va faire sont Bicêtre, la conciergerie et l’hôtel de ville – Bicêtre, l’hôtel de ville et la place de grève - Bicêtre, le tribunal et l’hôtel de ville. Chapitre 16 Lorsque le narrateur était à l’infirmerie, il a entendu une jeune fille – un oiseau – une infirmière. La chanson était en langage soutenu – argotique – courant. La chanson parlait d’un assassin condamné à mort – d’un assassin condamné aux galères – d’un voleur qui était libéré. La jeune fille avait 14 ans – 15 ans – 16 ans. Chapitre 17 Le narrateur imagine le sommeil – le retour à son enfance – l’évasion. Qu’est-ce qui a empêché de réaliser son rêve ? un gendarme – la rivière – le mur épais. Chapitre 18 La personne qui a visité le condamné est Le directeur – le guichetier – le prêtre. Le visiteur a traité le narrateur avec respect – raillerie – inattention. Quel est le sentiment du narrateur ? le bonheur – la peur – la tristesse. Chapitre 19 Quelle est la deuxième personne qui a visité le narrateur ? le directeur – le guichetier – le prêtre. Chapitre 20 Le narrateur pense que la prison est une espèce d’être complet et indivisible – tout autour de lui est prison – la prison est sous toutes les formes. Chapitre 21 Le prêtre est un jeune homme à tête noire – un vieillard à tête blanche – un jeune homme à tête blanche. La deuxième personne qui est entrée après le prêtre est l’huissier – l’inspecteur – le procureur du roi. Cette dernière personne a annoncé au narrateur qu’il serait libéré – qu’il était condamné aux galères – qu’il serait exécuté ce jour-là . Chapitre 22 A quelle heure le narrateur a-t-il été transféré à la conciergerie ? à 0630 – à 0730 – à 0830. Combien de personnes ont-ils accompagné le narrateur ? 6 – 7 – 8 personnes. Ce jour-là , il y avait de la neige – du soleil – de la pluie. Dans le compartiment de devant, sont montés le prêtre et un gendarme – l’huissier et un gendarme – deux gendarmes. L’inscription qui est gravée au-dessus de la porte de Bicêtre est hôpital de fous – palais de Bicêtre – hospice de la vieillesse. L’huissier a perdu son tabac – son chapeau – sa montre. A quelle heure sont-ils arrivés à la conciergerie ? à 0830 – à 0930 – à 1030. Chapitre 23 Le narrateur a été mis dans une cellule – dans un cachot – dans un cabinet. Qui était avec le narrateur dans le même cabinet ? un friauche – un forçat – un fou. Le nouveau condamné avait 55 ans – 53 – 51 ans. Le nouveau condamné était ridé, jeune et maigre – jeune, gros et grisonnant – ridé, voûté et grisonnant. A quel âge le nouveau condamné était-il déjà sans parents ? à 6 ans – à 7 ans – à 9 ans. A quel âge le friauche a-t-il été emprisonné pour la première fois ? de 15 ans jusqu’à 32 ans – de 17 ans jusqu’à 30 ans – de 17 ans jusqu’à 32 ans. Lorsque le friauche a été libéré, ils lui ont donné 65 francs – 66 francs – 67 francs. Ils lui ont donné également un passeport jaune – un passeport rouge – un passeport vert. Qu’est-ce que le friauche a-t-il volé pour mériter les galères à perpétuité ? une montre – un manteau – du pain. Après avoir été condamné aux galères à perpétuité, le friauche s’est suicidé – s’est gracié – s’est évadé. Quelle est la dernière peine laquelle le friauche est-il condamné ? la mort – les galères – la prison de 50 ans. Le friauche a demandé au narrateur sa redingote parce qu’il fait froid – pour la donner aux geôliers – pour la vendre et acheter du tabac. Chapitre 24 Le narrateur a donné sa redingote au narrateur par insouciance – par charité – par peur. Le narrateur avoue qu’il est devenu méchant – gentil – respectueux. Chapitre 25 Où ont-ils amené le narrateur ? dans une cellule – dans un cabinet – dans une chambre très vaste. A partir du chapitre 24, où le friauche a-t-il été conduit ? à une autre cellule – à la grève – à Bicêtre. Un gendarme s’est installé dans la même cellule du narrateur de peur que ce dernier s’évade – de peur que ce dernier écrive un placet au roi – de peur que ce dernier se suicide. Chapitre 26 Où le narrateur sera-t-il enterré ? à Bicêtre – à Clamart – à la place de grève. Combien lui reste-t-il pour la mort ? 4 heures – 6 heures – 8 heures. A qui le narrateur adresse-t-il ses paroles ? à sa fille Marie – au directeur de la prison – au roi. Le narrateur décrit sa fille Marie description physique de façon favorable – de façon valorisante – de façons dévalorisante. Chapitre 27 La chose dont le narrateur parle et qui est effroyable est la mort – la place de grève – la guillotine. Chapitre 28 Un jour, le narrateur a vu l’échafaud, c’était vers 10 heures – 10 heures et demie – 11 heures. Chapitre 29 Le narrateur espère la grâce – la prison de 25 ans – l’évasion. Le narrateur préfère la guillotine aux galères – les galères à la liberté – les galères à la mort. Chapitre 30 La personne qui est entrée dans la cellule du narrateur est le directeur – un guichetier – le prêtre. Comment le narrateur a-t-il considéré le narrateur ? come un croyant pratiquant – comme un véritable croyant – comme un impie. Le narrateur a trouvé les paroles du prêtre sans influence – sincères – consolantes. Le narrateur réclame un prêtre menteur – un prêtre sincère – un prêtre méchant. C’est lui qui est bon et moi qui suis mauvais » est une hyperbole – une métaphore – une antithèse. On lui a apporté de la nourriture. Il s’agit d’un poulet et autre chose – de la viande et autre chose – d’un ragoût et autre chose. Le narrateur n’a pas pu manger car la nourriture lui a paru fétide – il pense à la mort – il n’avait pas faim. Chapitre 31 La personne qui est entré dans sa cellule est un prêtre – un sous-architecte – un gendarme. Une personne est entrée dans la cellule du condamné pour demander sa redingote – le surveiller – prendre des mesures. Chapitre 32 Le registre employé dans ce chapitre est comique – lyrique – tragique. Le nouveau gendarme joue aux cartes – au tiercé – à la loterie. Le nouveau gendarme a demandé au narrateur 3 numéros – 4 numéros – 5 numéros. Le narrateur a promis au nouveau gendarme 3 numéros – 4 numéros – 5 numéros. Quelle était la condition du narrateur ? le gendarme doit payer une somme d’argent – le gendarme doit le libérer – le gendarme doit changer d’habits avec lui. Chapitre 33 Le ton employé dans ce chapitre est comique – lyrique – tragique. Son amoureuse d’enfance s’appelait Sophie – Pepa – Marie. Chapitre 34 Le narrateur veut se libérer – se cacher – se repentir. Ma belle jeunesse ! Étoffe dorée dont l’extrémité est sanglante » est une comparaison – une périphrase – une métaphore. Chapitre 35 Le narrateur imagine les tortures qui se trouvent autour de lui – la liberté qui se trouve autour de lui – les prisonniers qui se trouvent autour de lui. Chapitre 36 Le narrateur évoque le souvenir de sa fille Marie – des trois jours de condamnation – du bourdon de Notre-Dame. Chapitre 37 L’hôtel de ville se trouve de plain-pied avec la conciergerie – la place de grève – le palais de justice. Chapitre 38 Le narrateur a des tressaillements convulsifs – mal au ventre – une main mutilée. Combien lui reste-t-il pour la mort deux heures – deus heures et demie – deux heures et 45 minutes. Chapitre 39 Qu’est-ce que les autres pensent ? que la mort de cette façon est simple – que la mort de cette façon est douloureuse – que la guillotine cause de la douleur. Parmi ceux qui étaient guillotinés, le narrateur a cité Charles 10 et Papavoine – Robespierre et Louis 16 – Casting et Modespierre. Chapitre 40 Le narrateur espère la grâce du directeur – du prêtre – du roi. Le narrateur espère la grâce de Louis 16 – Charles 10 – Robespierre. Avec cette différence qu’il est aussi haut que tu es bas » est une antithèse – une antiphrase – un oxymore. Chapitre 41 Le narrateur imagine l’échafaud entouré par la foule – ce qui se passera après sa mort – la guillotine et ses valets. Chapitre 42 Je l’ai prié de me laisser dormir », l’ » remplace le directeur – le guichetier – le prêtre. Le narrateur a fait du sport – le ménage – un rêve. Combien le narrateur a-t-il dormi ? une heure – deux heures – trois heures. Au moment où le narrateur s’est réveillé, l’aumônier lisait un livre – lisait un journal – lisait des prières. Dans son rêve, qu’est-ce que le narrateur a mis sous le menton de la vieille ? une lampe – un couteau – une bougie. Chapitre 43 Pourquoi la mère n’est pas venue avec sa fille ? car elle n’a pas voulu voir son mari – car elle déteste son mari – car elle était malade. Le registre employé dans ce chapitre est pathétique – comique – lyrique. Marie a appelé son père papa – mon père – monsieur. Marie pense que son père est au travail – son père est déjà mort – son père est à la maison. La fille du narrateur lisait une feuille qui contient des fables – la sentence de mort de son père – une page du dernier jour d’un condamné ». Chapitre 44 …à la foule sur le pont, à la foule sur le quai, à la foule aux fenêtres… » est une métaphore – une hyperbole – une anaphore. Combien de temps reste-t-il à l’exécution ? 1 heure – 2 heures – 3 heures. Chapitre 45 Le narrateur pense qu’il y a sur un certain point de la grève un piège – un clochet – une pendule. Chapitre 46 Le narrateur pense au roi Charles 10 – au roi Charles 11 – à sa fille Marie. Le narrateur a décidé d’écrire un placet au roi – son histoire à sa fille – son journal de souffrance. Chapitre 48 Ce chapitre est rédigé à l’hôtel de ville – à la conciergerie – au palais de justice. l’horrible peuple qui aboie » est une métaphore – une hyperbole – une personnification. Le bourreau a 2 valets – 3 valets – 4 valets. Le valet du bourreau s’appelle lundi – mardi – mercredi. Le narrateur a décrit les spectateurs comme cruel et avides – gentils et respectueux – triste et en colère. Cet atroce éloge » est une métaphore – antithèse – oxymore. La place a éclaté en brui »t est métaphore – oxymore – métonymie. Chapitre 49 Le narrateur demande la mort – le soutien moral – la grâce. Le narrateur est présenté dans une attitude suppliante – de courage – d’insouciance. 250. Le bourreau rappelle au juge le nom du narrateur – le caractère urgent de l’exécution – le lieu où le condamné sera enterré
Le Dernier Jour d'un Condamné Résumé chapitre par chapitre Chapitre I Le narrateur commence par annoncer une pensée condamné à mort. Puis il précise depuis combien de temps il habite avec elle cinq semaines. Il emploie l’adverbe autrefois » pour montrer que ces semaines sont pour lui des années, quand il était libre il pouvait penser à ce qu’il voulait. Maintenant il est captif et il n’a qu’une seule idée condamné à mort. Il est obsédé par cette idée qu’il voit partout dans sa cellule, il a même l’impression d’entendre une voix qui murmure à son oreille condamné à mort ». Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre II Le narrateur raconte son procès. C’est par une belle matinée d’août, le procès est entamé il y a trois jours. Depuis trois jours, chaque matin, une grande foule se presse dans la salle d’audience des spectateurs, des juges, des avocats, des procureurs du roi, des témoins. Les deux premières nuits, le condamné ne peut pas dormir, la troisième il dort de fatigue et d’ennui. On vient réveiller le condamné dans sa chambre pour l’emmener devant les juges, il décrit le chemin parcouru de la cellule jusqu’à la salle des assises, puis jusqu’à sa place, au milieu du tumulte. Le narrateur, égayé par le soleil, par le bruit de la vie qui arrive de l’extérieur, ne pense qu’à la liberté. L’avocat arrive, il confie au condamné qu’il croit que le verdict pourrait être les travaux forcés à perpétuité, le narrateur s’indigne et déclare qu’il préfère plutôt la mort. Le président lit l’arrêt condamné à mort! Les objets prennent aux yeux du condamné la couleur d’un linceul, et les personnes l’air de fantômes. Au moment de monter dans la voiture noire qui attendait le narrateur les passants crient un condamné à mort! Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre III Les hommes sont tous condamnés à mort avec des sursis indéfinis» se rappelle le narrateur de ce qu’il avait lu dans un livre, avant de se lancer dans une réflexion sur la mort et son moment imprévisible. Le narrateur trouve que la mort ne peut lui rien enlever, vue la situation dans laquelle il se est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IV Le narrateur décrit le hideux Bicêtre où une voiture noire l’avait transporté. Il insiste sur son aspect majestueux vu de loin, et sa laideur à mesure qu’on approche de cet est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre V Le condamné décrit comment il a été reçu dès son arrivée à Bicêtre. Les premiers jours, on le traitait avec une certaine douceur qu’il n’aimait pas, mais au bout de quelques jours il est confondu avec les autres détenus dans la même brutalité. Après une hésitation, on lui donne de l’encre, du papier, des plumes et une lampe de nuit. Chaque dimanche, à l’heure de récréation, le condamné parle avec les autres détenus, il apprend leur est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VI Le narrateur se demande Puisque j’ai le moyen d’écrire, pourquoi ne le ferai-je pas ? » mais le problème c’est qu’il n’a rien à dire parce qu’il n’a plus rien à faire dans ce monde. Juste après, il trouve que son écriture ne sera pas inutile, elle l’aidera à souffrir moins, elle portera avec elle un grand et profond enseignement, elle contiendra plus d’une leçon pour ceux qui condamnent, car elle décrit la souffrance morale du condamné, celle à laquelle les partisans de la peine de mort ne font pas est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VII Le narrateur repense à ce qu’il a dit dans le chapitre précédent et le voit comme une folie. Il se demande quelle en serait l’utilité si lui-même ne sera pas sauvé. Il ne parvient pas à croire qu’il sera mort de cette façon demain ou aujourd’hui est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VIII Pour compter le temps qui lui reste, le condamné commence du jour où son arrêt a été prononcé. C’est une occasion pour nous informer sur la durée qui lui reste dans le monde, mais aussi une opportunité pour critiquer l’indifférence des hommes de la justice face à la souffrance d’un condamné à mort. Après avoir compté, le condamné est indécis entre cinq et six semaines. Il ne lui reste presque plus de est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IX Le narrateur vient de faire son testament, il se demande A quoi bon ? » car il est condamné aux frais, et tout ce qu’il a y suffira à peine. Il évoque ensuite la souffrance de sa mère, sa femme et sa fille, en insistant surtout sur cette dernière car c’est elle qui lui fait est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre X Le condamné fait la description de son cachot à l’intérieur, du corridor et des compartiments au dehors. Il nous informe que les cachots sont tout ce qui reste de l’ancien château de Bicêtre, tel qu’il avait été bâti dans le quinzième est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XI Pour combler le vide qu’apporte la nuit, le narrateur a une idée promener sa lampe sur les quatre murailles de la cellule. Il trouve alors beaucoup de dessins et d’écritures, c’était tracé avec de la craie, du charbon, ou des crayons. Cette recherche a été interrompue par une image crayonnée en blanc au coin du mur, c’est la figure de l’échafaud. La lampe a failli tomber des mains du est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XII L’effroi du condamné s’est dissipé, une curiosité le pousse à reprendre sa recherche. Il trouve des noms et des dates. Il nous informe sur les personnes qui portaient ces noms et sur leurs crimes, ce sont les anciens condamnés à mort qui avaient déjà été dans la cellule avant lui. Entre eux et lui, le narrateur découvre pas mal de point communs! Il a alors un accès de fièvre, il voit dans le cachot des hommes qui portaient leurs têtes par la bouche. Une araignée, qu’il a dérangé pendant sa recherche en enlevant sa toile, lui marche sur le pied et le repêche de son cauchemar sur le point de devenir est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XIII Dans ce chapitre le condamné raconte une chose hideuse» qu’il avait vue quelques jours auparavant. C’est le ferrage des forçats qui devraient partir pour Toulon. Avec les bruits dans Bicêtre dès les premiers moments de la journée, le narrateur pense qu’il y a une fête, avant qu’un geôlier lui dise de quoi il s’agit et lui propose d’y assister depuis une autre cellule. Le condamné décrit la cour sur laquelle donne la fenêtre de cette cellule ainsi qu’aux quatre murailles qui s’élèvent autour d’elle description du bâtiment depuis la cellule. Le spectacle commence à midi, c’est d’abord les préparations des chaînes, des carcans, des chemises et des pantalons, ensuite les forçats sortent par deux ou trois portes basses, ils doivent passer une visite des médecins. Vient ensuite la description des étapes du ferrage. Sous la pluie, les forçats se déshabillent pour mettre les habits de route, après quoi ils seront ferrés à grands coups de masses de fer. Ces pauvres hommes ont aperçu le condamné à sa fenêtre, ils le saluent, un d’eux lui lance Adieu, camarade!». Le chapitre se termine par l’évanouissement du est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XIV Quand le personnage principal a repris ses sens dans un lit, il découvre qu’on l’avait transporté à l’infirmerie, il se rendort. Le lendemain matin, un grand bruit le réveille, c’est le départ des forçats. Le condamné consacre un longue description à cet est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XV Puisqu’il n’était pas malade, le condamné se trouve dans le cachot le lendemain. Il envisage cette absurdité de mourir tout en étant en santé si bonne. Il repense à la possibilité de s’évader de Bicêtre qui était à sa portée à l’infirmerie, peut-être à l’aide d’un médecin, puis songe à sa grâce qui semble est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XVI Le condamné fait un retour en arrière dans son récit, à sa présence dans l’infirmerie. Il a entendu une belle voix chanter une chanson dont il présente les paroles. Le sens de cette chanson est à demi compris et à demi caché, elle était en est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XVII Dans son cachot, le condamné songe à ce qu’il ferait s’il pouvait s’évader de la prison. Il se lance un moment dans ce rêve mêlé de quelques souvenirs de son enfance, avant de revenir à son présent malheureux où un mur épais de trois pieds l’ est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XVIII Le condamné écrit jusqu’à six heures du matin. Le guichetier de garde entre dans le cachot, le salue poliment, et d’une voix adoucie lui demande ce qu’il désire à déjeuner. Notre prisonnier comprend que c’est aujourd’hui qu’il sera donc est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XIX Le chapitre commence et se termine par la même expression C’est pour aujourd’hui». Le condamné est donc certain de ce qu’il redoutait dans le chapitre précédent. Le directeur de la prison lui-même lui a rendu visite et s’est montré très est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XX Autour du condamné, tout est prison, les murs, les portes, les guichetiers. A ses yeux, la prison pend plusieurs formes. Il se demande ensuite ce qu’ils vont faire de lui, et ce qu’il est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXI Le condamné dit qu’il est calme maintenant, avant de nous raconter avec quelques détails ce qui vient de se passer ce matin. D’abord l’arrivée du prêtre dans le cachot, et pendant que cet homme parle le directeur et l’huissier entrent aussi, ils viennent pour apporter un message, le pourvoi du condamné a été rejeté, et c’est aujourd’hui qu’il sera exécuté, mais avant ils doivent partir pour la conciergerie à sept heures et est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXII Le narrateur est maintenant à la conciergerie, il raconte son voyage de Bicêtre jusqu’à cet endroit qui a duré une heure sous la pluie dans la même voiture noire qui l’avait emmené du tribunal à la prison. Pendant ce voyage, le dialogue des personnages montre à quel point l’huissier est indifférent face à la fin tragique qui guette le est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXIII On a laissé le condamné dans un petit cabinet attenant à celui du directeur, dans l’attente de faire les procès verbaux à la fois, celui du narrateur et celui du nouveau condamné qui sera transporté à Bicêtre dans la fameuse voiture noire. La rencontre des deux hommes est une occasion pour nous raconter la triste histoire du friauche le nouveau condamné depuis son enfance jusqu’à la est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXIV Le condamné explique pourquoi le vieux friauche a pu lui prendre sa redingote et décrit le sentiment qu’il garde envers est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXV Toujours à la conciergerie, on a amené le narrateur dans une cellule vide démeublée. Il demande une table, une chaise et ce qu’il faut pour écrire. Il demande aussi un lit. Un gendarme vient s’installer dans la est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXVI Le moment de l’exécution approche, il ne reste plus que six heures. Le condamné, en s’adressant à sa fille, insiste sur la souffrance immédiate de celle-ci en tant que petite enfant, et la souffrance qui l’attend quand elle sera grande, car son père serait un des souvenirs de Paris tout comme les noms évoqués dans le chapitre est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXVII Ce chapitre est consacré à une réflexion sur la machine dont le narrateur n’ose plus prononcer l’effroyable nom la est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXVIII Onze heures viennent de sonner. Le condamné se souvient de cette fois où il avait entrevu un matin par la portière d’une voiture cette machine hideuse, mais il a détourné la tête avant de l’avoir vue. Le malheureux, cette fois-ci il ne détournera pas la est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXIX Le condamné rêve toujours de sa grâce. Il accepterait des galères même à perpétuité. Au moins il sera est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXX Le prêtre vient consoler le condamné, après un court dialogue, le narrateur est seul de nouveau dans sa chambre. Il aurait préféré être consolé par un autre prêtre qui vient de l’extérieur, qui n’a rien à voir avec Bicêtre et la conciergerie, parce que celui qui vient de sortir est tellement habitué à la consolation des condamné que ses mots manquent de chaleur et d’accent. On apporte de la nourriture au condamné, mais il ne peut pas manger, tant le repas lui semblait amer et est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXI Un certain architecte entre dans la chambre pour prendre quelques mesures des pierres du mur. Dans quelques mois, cette prison sera est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXII Le condamné rapporte la conversation qu’il a eue avec le nouveau gendarme. Ce dernier demanda au condamné de lui révéler les numéros gagnants à la loterie, après sa est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXIII Le narrateur ferme les yeux et met les mains dessus, il repense à son enfance et sa jeunesse. Il parle de la fille andalouse Pepa, son amour d’ est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXIV Le condamné est perturbé, une heure vient de sonner sans qu’il puisse savoir laquelle. Il établit une comparaison entre son passé si beau et son présent effrayant en songeant à son crime. Il voudrait bien se est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXV Le prisonnier nous rappelle que tout près de lui et partout dans Paris, des gens vivent leur vie comme ils veulent jouissant de leur est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXVI Le condamné raconte un souvenir d’enfance d’un jour où il était allé voir le bourdon la grande cloche de est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXVII Description dévalorisante de l’hôtel de est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXVIII Il est une heure et quart. Le condamné présente les aspects de la souffrance physique qu’il éprouve, il voit dans sa mort, qui l’attend dans deux heures quarante-cinq minutes, une sorte de est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXIX Le condamné réfute l’idée des partisans de la guillotine qui disent que la mort de cette façon ne fait pas mal, il insiste sur la souffrance morale du condamné dans l’attente de son exécution qu’il compare à une agonie de six semaines, sans oublier la souffrance physique au moment de l’ est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XL Le narrateur pense au roi et aux conditions dans lesquelles il vit. Il suffit que cet homme écrive au bas d’un morceau de papier son nom, ou son carrosse rencontre la charrette du condamné pour que ce dernier retrouve sa vie et sa est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLI Ayant courage avec la mort, le condamné donne libre cours à son imagination pour prévoir ce qui arriverait à son âme après sa mort. Face à ses multiples questions sans réponse, il demande un prêtre, c’est le seul qui aura des réponses, mais c’est le même prêtre qui était là déjà , et que le condamné n’a pas trop est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLII Le prisonnier prie le prêtre de le laisser dormir. Il fait un cauchemar qu’il raconte en détails dans ce chapitre. Au bout d’une heure il se réveille frissonnant et baigné d’une sueur froide. L’aumônier l’informe que sa fille est là pour le est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLIII La bonne a amené l’enfant pour voir son père, sa mère est malade. La petite fille ne reconnaît pas son père et l’appelle monsieur». Elle dit que son père est mort. Le condamné, vers la fin du dialogue avec sa fille Marie, demande à sa bonne de l’emporter, il est bon à ce qu’ils vont faire».Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLIV Le condamné pense à ce qui viendra dans l’heure qui lui reste encore dans la est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLV Le narrateur pense à la foule qui assistera à son exécution, sûrement parmi ces gens certains seront condamnés à mort à leur est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLVI Le narrateur repense à sa petite Marie et voit qu’il faut qu’elle sache par lui son histoire. Il décide donc d’écrire quelques pages pour elle qu’elle lira un est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLVII Note de l’éditeurCeci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLVIII Quand le condamné a vu l’échafaud construit pour son exécution, il a demandé à faire une dernière déclaration. On l’a déposé dans la chambre où il est en train d’écrire, et l’on est allé chercher quelque procureur du roi. Dans l’attente de cet homme, le condamné raconte ce qu’il a vécu de la conciergerie jusqu’à cette chambre de l’hôtel de ville. Il commence du moment où l’on était venu l’avertir qu’il était temps, à trois heures, avant de présenter la scène de la toilette du condamné» lors de laquelle on lui coupe les cheveux, après quoi on lui a lié les mains derrière le dos, et les pieds pour ne pouvoir faire que de petits pas, avant de monter dans la charrette qui l’emmènera à la place de Grève, sur un chemin entouré de est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLIX Quand l’homme quand attendait était arrivé, le condamné lui demande sa grâce, mais il semble indifférent à sa situation malheureuse. Le narrateur demande alors qu’on lui accorde une minute pour attendre sa grâce, mais il est quatre heures, et il lui semble qu’on monte l’escalier!Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Nous vous invitons à lire également
I- Présentation du roman DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ le, 18... Roman de Victor Hugo 1802-1885, publié à Paris sans nom d'auteur chez Gosselin en 1829. La 3e édition ajoute en ouverture une espèce de préface en dialogue», que Hugo intitule Une comédie à propos d'une tragédie»; une nouvelle édition publiée chez Renduel en 1832 assortit l'ensemble d'une longue Préface consacrée à la peine de mort, question torturante posée à la société et à l'Histoire. Drame intérieur», ce livre, dont l'auteur justifie l'appellation de roman» dans une lettre à son éditeur, détaille au fil de 49 chapitres l'implacable marche à une mort annoncée pour prononcer une plaidoirie générale et permanente pour tous les accusés présents et à venir». II- Résumé du Dernier jour d'un condamné À la prison de Bicêtre, un condamné à mort note heure par heure les événements d'une journée dont il apprend qu'elle sera la dernière. Il rappelle les circonstances de la sentence, puis de son emprisonnement et la raison qui le fait écrire, jusqu'au moment où il lui sera physiquement impossible de continuer. Décrivant sa cellule, détaillant la progression de la journée, évoquant d'horribles souvenirs comme le ferrement des forçats, la complainte argotique d'une jeune fille, des rêves, il en arrive au transfert à la Conciergerie. Il interrompt le sermon sentimental» et l'élégie théologique» du prêtre et reprend le cours de ses notations. Puis on lui amène Marie, sa petite fille. C'est enfin l'ultime trajet. Il tremble, implore. On monte les marches de l'échafaud il est quatre heures. Une dernière note écrite de la main du condamné» ajoutée par l'éditeur» reproduit en fac-similé la chanson en argot. III- Analyse du roman Hugo choisit de laisser l'identité, le passé et le crime du condamné dans l'ombre, insistant sur cette frustration en annonçant, au chapitre 47, que le condamné se proposait de relater ces circonstances, mais que les feuillets ont disparu. Ainsi la parole du personnage prise en charge par son journal se consacre-t-elle exclusivement à la pensée de la mort. Aucun développement romanesque, presque aucune ouverture sur la vie individuelle le livre n'a pour objet que cette mort dont apparaît alors avec une force inouïe le caractère impensable. La peine de mort renvoie toute l'humanité à l'inhumanité de son horreur philosophique. S'il n'est véritablement personne, le condamné devient dès lors tout le monde. Littérairement, c'est un je» qui s'exprime avec une modernité remarquable, et transcrit un monologue intérieur. Camus lui doit sans doute la technique de l'Étranger. Rien en effet ne rassure le lecteur cette voix, brutalement interrompue par la décapitation, énonce une agonie et renvoie à une terrible fascination du néant. L'homme sans nom est coupé du monde, et ne parle guère aux acolytes de la mort, depuis le concierge jusqu'à l'aumônier. Il ne lui reste plus qu'un langage inutile. Dire le vide, ou plutôt être ce vide même, écrire un indicible tâche impossible et pourtant entreprise; tâche sans fin et pourtant commencée Mais quoi écrire?», se demande celui qui n'a plus qu'une idée obsédante dans sa solitude. Procès-verbal de la pensée agonisante», autopsie intellectuelle d'un condamné», le livre se donne aussi comme un antiroman, sans héros, sans intrigue, sans fin. Une composition lyrique organise le texte, alternant le cri et le récit, les chapitres longs et les chapitres brefs, les paragraphes purement narratifs avec d'autres centrés sur la sensation, l'ombre et la lumière, à la fois horreur vécue et dramatisation d'un poème de la conscience humaine. Plus qu'un réquisitoire contre la peine de mort, à quoi on le réduit souvent, ce texte, pour dire la monstruosité de la guillotine, invente une monstruosité au sens hugolien littéraire la voix anonyme. G. GENGEMBRE, "Dictionnaire des oeuvres littéraires de langue française." © Bordas, Paris 1994 Voir aussi Le dernier jour d\'un condamné analyse du chapitre VI Antigone de Sophocle à Anouilh Antigone de jean Anouilh analyse du monologue du Choeur Bac de français
Chapitre I Un jeune prisonnier dont on ignore le crime évoque sa tourmente condamné à mort il est hanté par l'idée de son exécution prochaine. Douleur psychologique bien plus abominable que la douleur physique de la détention. Chapitre II Le jeune homme se souvient son procès, sa condamnation, ses sentiments lors du jugement. Chapitre III Le prisonnier accepte avec une certaine résignation le verdict. Ne sommes-nous pas tous condamnés à mourir un jour ? Chapitre IV Le condamné décrit son transfert à la prison de Bicêtre. Chapitre V Les souvenirs et les anecdotes se poursuivent l'arrivée à la prison, les conditions d'incarcération, le langage argotique du milieu, l'obéissance du prisonnier bien récompensée... Chapitre VI Le jeune homme dévoile son projet il souhaite écrire. Ecrire pour soulager sa peine, écrire pour qu'on se souvienne, écrire pour combattre la peine de mort. Chapitre VII Toutefois, il tergiverse pourquoi sauver des vies alors qu'il ne peut sauver la sienne ? Chapitre VIII Les jours du prisonnier son comptés. Cinq semaines le séparent de son exécution. Chapitre IX Il entreprend de rédiger son testament et pense à sa famille, plus particulièrement à sa fille qu'il aurait aimé revoir une dernière fois. Chapitre X Le condamné décrit son cachot privé de fenêtres, le corridor, les cellules réservées aux bagnards, celles réservées aux condamnés à mort. Chapitre XI Une nuit, ne trouvant pas le sommeil, ildécrit les inscriptions des murs de sa cellule. Un dessin de la potence retient son attention. Chapitre XII Puis, il remarque les noms des prisonniers qui l'ont précédé dans ce cachot. Chapitre XIII Le jeune homme se remémore il y a quelques jours, il a assisté au départ des bagnards pour le pénitencier de Toulon. Il se souvient de la visite médicale des forçats, du repas des geôliers et du ferrage des prisonniers. Il se souvient de s'être évanoui. Chapitre XIV C'est à l'infirmerie qu'il reprend connaissance. Là il observe le départ des bagnards, réalisant que la situation de condamné à mort est préférable à celui de forçat. Chapitre XV De retour dans sa cellule, il souhaite s'évader. Chapitre XVI Il se souvient à l'infirmerie, il a entendu une jeune femme fredonner une chanson en argot. Chapitre XVII Un rêve Le jeune condamné est libre enfin. Toutefois, prêt à embarquer pour l'Angleterre, il est découvert par un gendarme. Chapitre XVIII On interroge le condamné sur ce qu'il désire manger. Chapitre XIX Le jeune homme réalise que le terme de sa vie approche quand le directeur de la prison, affable, lui rend visite. Chapitre XX Il songe aux gardiens, aux murs sales, à tout ce lieu. Chapitre XXI Un prêtre et un huissier rencontrent le prisonnier. On lui annonce que le pourvoi est rejeté. Son exécution est décidée pour le jour même. Chapitre XXII Le prisonnier narre son transfert à la Conciergerie. Chapitre XXIII Là , il rencontre le prochain condamné à mort qui prendra sa place dans la cellule de Bicêtre. Celui-ci lui raconte son histoire et lui vole sa redingote. Chapitre XXIV Volé, le jeune homme est furieux. Chapitre XXV Une fois dans sa cellule, il réclame une chaise, une table, un lit et du papier. Chapitre XXVI Le prisonnier pense avec amertume à sa fille. Va-t-elle souffrir à cause de lui ? Sera-t-elle rejetée ? Chapitre XXVII Puis il s'interroge sur la mort par décollation. Chapitre XXVIII Il se souvient de l'installation d'une guillotine sur la place de Grève. Chapitre XXIX L'heure de la mise à mort semble interminable. Chapitre XXX Le prisonnier reçoit une seconde visite du prêtre. Le sermon est des plus ordinaires et l'ecclésiastique reste indifférent à la douleur du condamné. Bouleversé, ce dernier ne peut toucher à son repas. Chapitre XXXI On inspecte sa cellule. Il apprend qu'elle sera rénovée dans quelques mois. Chapitre XXXII Un gendarme plaisante après son exécution, qu'il vienne donc chez lui afin de lui dévoiler la combinaison gagnante de la loterie. Le jeune homme, songeant à s'évader, propose au gendarme d'échanger leurs vêtements. Ce dernier, loin d'être dupe, refuse. Chapitre XXXIII Le prisonnier revient sur des souvenirs de jeunesse. Chapitre XXXIV Puis il se remémore son crime. Chapitre XXXV Il songe ensuite à chacun d'entre nous qui continuons à vivre en ignorant le drame qui va se jouer bientôt. Chapitres XXXVI et XXXVII Un autre souvenir la visite de la grande cloche de Notre-Dame de Paris et l'hôtel de ville. Chapitre XXXVIII Le jeune homme compte les heures il ne lui reste que deux heures quarante cinq à vivre. Il en éprouve une intense douleur. Chapitre XXXIX Comment peut-on savoir que la mort par la guillotine n'est pas douloureuse puisqu'aucun des condamnés à mort n'est là pour témoigner ? S'interroge t-il. Chapitre XL Il espère toujours être gracié. Chapitre XLI Sentant sa mort prochaine, il souhaite se confesser. Chapitre XLII Il s'assoupit un instant. Mais tourmenté par un cauchemar, il se réveille aussitôt. Chapitre XLIII Sa fille, Marie, vient lui rendre visite ; Il est au désespoir quand il réalise que son enfant, qui ne le reconnait pas, le croit déjà mort. Chapitre XLIV Une heure le sépare de l'échafaud. Chapitre XLV Il pense à ceux qui viendront assister à son exécution et à ceux qui emprunteront le même chemin que lui vers l'échafaud. Chapitre XLVI Sur quelques pages, le jeune homme cherche à se justifier et, pourquoi pas, obtenir le pardon de sa fille. Chapitre XLVII Note de l'éditeur des pages sont ici manquantes, perdues à moins qu'elles n'aient pu être rédigées. Chapitre XLVIII L'heure de l'exécution est imminente. On lui coupe les cheveux, on lui lie les mains et on le conduit vers la guillotine. Chapitre XLIX Le condamné demande encore cinq minutes il attend toujours la grâce du roi... en vain.
le dernier jour d un condamné résumé chapitre par chapitre